samedi 12 septembre 2020

Qui est Sébastien Manificat, sympathisant français du régiment Azov?

Sébastien Manificat à la conférence de la PanEuropa  à Kiev en décembre 2017.

Dans un précédent billet, nous avions identifié Sébastien Manificat, responsable des relations internationales de CasaPound, en tant que « collabo » francophone du Régiment Azov en Europe. Ce billet a attiré plus d'un millier de vues et nous a convaincu de la pertinence de l'exposer comme il se doit.

Sébastien Manificat est un des principaux éléments propagandistes des unités paramilitaires ukrainiens dans le camp national français. Il est probablement l'un des propagandistes de la fachosphère le plus connu et influent à travers l'Europe. 

En plus d'avoir participé directement à la fondation de la Maison Cosaque à Kiev, qui se décrit comme une copie quasi identique de la Maison Pound (traduction française de CasaPound) à Rome, on remarque que ce modèle s'est reproduit à travers l'Europe via des organisations toutes sympathiques à la cause ukrainienne (sic) néonazie. Que ce soit Hogar Social Madrid (Espagne), Atalante Québec (Canada), Haus Montag Prina (Allemagne) ou encore le fameux Bastion Social (France), on note le rôle prépondérant qu'à jouer ce responsable des relations internationales pour Casapound.

C'est pourquoi, nous, les membres du collectif No Azov Europe, avons décidé de mettre les pendules à l'heure en faisant toute la lumière sur cet individu tout aussi mystérieux qu’énigmatique.

dimanche 17 mars 2019

Les « collabos » francophones du Régiment Azov en Europe

Ils existent encore aujourd'hui des adorateurs du IIIe Reich en France, mais aussi dans toute l'Europe.

C'est un fait que personne ne peut nier, pas même les plus farouches opposants. 

Qu'ils existent encore aujourd'hui des gens qui éprouvent une certaine sympathie de la période nazie, après des décennies de déculturation des nations européennes, cela peut se comprendre facilement d'autant plus que leurs adeptes sont souvent de très jeunes mâles, et ce à un âge qui ne dépasse rarement la stade de la trentaine.

En raison de l'occupation de cette dernière par les forces allemandes entre 1940 et 1944, le nazisme a laissé des traces profondes dans l'esprit des Européens, jeunes et moins jeunes.

Cette sympathie peut parfois prendre forme par réaction - par rejet ou par patriotisme- de la société marchande, de l'immigration massive, de la communautarisation des banlieues, de même que par la déculturation à marche forçée des nations européennes.  

Il est donc compréhensible que certaines personnes y trouvent un refuge. Qu'ils y restent, cela s'explique beaucoup moins.

En revanche, ce qui est moins compréhensible, est que certaines personnes nostalgique de cette période faste de l'Histoire de France, y trouvent plus tôt une haine de la Russie, non pas une haine de la Russie de la période soviétique, mais celle d'aujourd'hui.

Or la Russie s'est affranchie de son passé, sans toutefois le renier, les statues de Lénine dominent encore les grandes citées de la Fédération de Russie. Mais cela ne signifie pas que la Russie constitue un menace « soviétique » pour la survie de ces néonazis des banlieues de Londres, Paris, Lyon ou Berlin. 

Dans cet univers parallèle, complètement déconnecté du monde réelle, où on essaie de faire revivre les vieux démons du passé, on y retrouve plusieurs « collaborateurs » à ce détournement de l'Histoire. Un détournement de l'Histoire et de la réalité qui consiste à désigner un ennemi principal, que la propagande officielle se chargera de nourrir.

Il ne faut jamais perdre de vue que cette propagande diffusée à la grandeur de 'Europe ne vise qu'à désigner la Russie comme un agresseur et l'OTAN, le bras armé de l'Occupation de l'Europe, comme un défenseur de la Liberté et de la Démocratie.

En avril 2017, le régiment Azov organise la Première Conférence Pan Europa.

 A cette conférence, on remarque la présence de trois français: Pascal Lassalle de Radio-Courtoisie, Sébastien Manificat du Mouvement Casapound Italia et Steven Bissuel du Bastion Social.



lundi 24 décembre 2018

Gaston Besson, le Régiment Azov et compagnie




Après plusieurs mois de recherches qui nous ont permis de mieux comprendre les structures et réseaux de soutien du régiment Azov en Europe, nous avons décidé de vous présenter quelques-unes des têtes principales de ce réseau de collaborateurs néonazis. Des néonazis d'apparence, mais qui sont en fait des agents de l'OTAN.

Pour commencer, nous allons vous présenter Gaston, l'une des principales figures et vétéran français du régiment Azov.

Gaston Besson s'est fait connaître dans les années 90  en tant que mercenaire français engagé durant la guerre en Yougoslavie. Il s'est battu au côté des forces croates contre les forces serbes. Motivé par sa haine du communisme transposée dans la haine des Serbes, aujourd'hui des Russes, Gaston Besson est  un pur produit et «idiot-utile» de l'Occident.. 

Le milliardaire juif des néonazis ukrainiens


Les morts ukrainiens et russes vous remercient...

dimanche 9 décembre 2018

La filière du « Nationalisme Ukrainien » !

Suivant notre dernière publication qui présentait madame Semenyaka, secrétaire de presse du régiment Azov, nous avons jugé bon de rendre le tout  un plus visuel.

Pour mieux comprendre ce qu'est le Nationalisme Ukrainien réinventé durant la Révolution de l'EuroMaidan, nous vous invitons à vous référer à cette cartographie, si possible aussi de la partager.

Les liens présentés dans la cartographie servira de référence pour nos prochaines publications.




Ihor Kolomoïski : Oligarque anti-russe ukraino-israélien, gouverneur de l'oblast de Dniepr et grand argentier de Pravy Sektor et Régiment Azov.
Andriy Biletsky : Leader et co-fondateur du Régiment Azov.
Dmytro Yarosh : Leader de la milice Pravy Sektor et Commandant de l'Armée Volontaire Ukrainienne.
Boryslav Bereza : Porte-Parole de la milice Pravy Sektor et ex-candidat à la mairie de Kiev.
Olena Semenyaka : Secrétaire de Presse de Régiment Azov et de Pravy Sektor, coordonatrice du groupe Intermarium, de la Cossack House, du Club Traditionnaliste Ukrainien et du site Reconquista Europe.

Qui est Olena Semenyaka?

Qui est Olena Semenyaka?

Secrétaire de presse du régiment Azov

Olena Semenyaka est l’une des principales figures emblématiques de la section politique du régiment Azov.

Depuis la création du régiment Azov en 2014, elle occupe le poste de secrétaire de Presse du Régiment Azov . Formé des militants les plus radicaux du Maidan, le régiment Azov a été intégré formellement aux Forces Armées Ukrainiennes à l’été 2014.

Depuis le début de sa carrière au régiment Azov, elle participe à la propagande ukrainienne, notamment dans les milieux d'extrême-droite, où elle accumule plusieurs conférences et entrevues.

Secrétaire de presse de Right Sector



En plus de ses fonctions au régiment Azov, Olena Semenyaka occupe le poste de secrétaire de presse pour la milice Right Sector, une milice réputée d’extrême-droite dirigée par Dmytro Yarosh, un mercenaire ukrainien réputé avoir collaboré avec les milices islamistes dans les années 90 et a été reconnu avoir participé à des attentats, notammé contre une école primaire en en territoire russe durant le conflit tchetchéne.
Ayant fourni les premiers combattants lors de la création du régiment Azov, la milice Right Sector a été à l’avant-scène des troubles dans les rues de Kiev durant le Maidan jusqu'au départ de l’ancien président ukrainien.

FAQ NO AZOV



D'où vient le terme Azov ?
Le terme "Azov" est le nom du régiment ukrainien Azov incorporé à la garde nationale ukrainienne depuis la fin de la Révolution du Maidan en Ukraine, suivant un coup d'état pro-occidental qui s'est déroulé par des violentes manifestations entre novembre 2013 et février 2014.
Le régiment Azov s'est formé après la révolution du Maidan par des manifestants et miliciens d’extrême-droite impliqués dans le coup d'état.
Le régiment Azov, mais aussi son chapitre politique, est un régiment composé exclusivement de skinheads néonazis, ukrainiens pour la plupart, mais aussi canadiens, américains et australiens
Pourquoi un Collectif No Azov ?
L'objectif du Collectif No Azov est de faire la lumière sur un sujet trop longtemps manipulé par les médias de masse, soit l'existence d'un réseau d'extrême-droite radicale néonazie soutenue par l'état français.
Peu de médias, journalistes ou de politiciens osent s'attaquer à l'existence de ce réseau. La plupart préfère le nier. 
Les médias de masse préfèrent dénoncer le Front National, en taxant aléatoirement les responsables et membres du parti comme des paria. Paradoxalement, ces mêmes médias ne touchent jamais, ou presque, à ces réseaux néonazi ukrainiens qui prennent racine en Ukraine, et de plus en plus racine en France, mais aussi partout en Europe.