Ils existent encore aujourd'hui des adorateurs du IIIe Reich en France, mais aussi dans toute l'Europe.
C'est un fait que personne ne peut nier, pas même les plus farouches opposants.
C'est un fait que personne ne peut nier, pas même les plus farouches opposants.
Qu'ils existent encore aujourd'hui des gens qui éprouvent une certaine sympathie de la période nazie, après des décennies de déculturation des nations européennes, cela peut se comprendre facilement d'autant plus que leurs adeptes sont souvent de très jeunes mâles, et ce à un âge qui ne dépasse rarement la stade de la trentaine.
En raison de l'occupation de cette dernière par les forces allemandes entre 1940 et 1944, le nazisme a laissé des traces profondes dans l'esprit des Européens, jeunes et moins jeunes.
Cette sympathie peut parfois prendre forme par réaction - par rejet ou par patriotisme- de la société marchande, de l'immigration massive, de la communautarisation des banlieues, de même que par la déculturation à marche forçée des nations européennes.
En raison de l'occupation de cette dernière par les forces allemandes entre 1940 et 1944, le nazisme a laissé des traces profondes dans l'esprit des Européens, jeunes et moins jeunes.
Cette sympathie peut parfois prendre forme par réaction - par rejet ou par patriotisme- de la société marchande, de l'immigration massive, de la communautarisation des banlieues, de même que par la déculturation à marche forçée des nations européennes.
Il est donc compréhensible que certaines personnes y trouvent un refuge. Qu'ils y restent, cela s'explique beaucoup moins.
En revanche, ce qui est moins compréhensible, est que certaines personnes nostalgique de cette période faste de l'Histoire de France, y trouvent plus tôt une haine de la Russie, non pas une haine de la Russie de la période soviétique, mais celle d'aujourd'hui.
Or la Russie s'est affranchie de son passé, sans toutefois le renier, les statues de Lénine dominent encore les grandes citées de la Fédération de Russie. Mais cela ne signifie pas que la Russie constitue un menace « soviétique » pour la survie de ces néonazis des banlieues de Londres, Paris, Lyon ou Berlin.
Or la Russie s'est affranchie de son passé, sans toutefois le renier, les statues de Lénine dominent encore les grandes citées de la Fédération de Russie. Mais cela ne signifie pas que la Russie constitue un menace « soviétique » pour la survie de ces néonazis des banlieues de Londres, Paris, Lyon ou Berlin.
Dans cet univers parallèle, complètement déconnecté du monde réelle, où on essaie de faire revivre les vieux démons du passé, on y retrouve plusieurs « collaborateurs » à ce détournement de l'Histoire. Un détournement de l'Histoire et de la réalité qui consiste à désigner un ennemi principal, que la propagande officielle se chargera de nourrir.
Il ne faut jamais perdre de vue que cette propagande diffusée à la grandeur de 'Europe ne vise qu'à désigner la Russie comme un agresseur et l'OTAN, le bras armé de l'Occupation de l'Europe, comme un défenseur de la Liberté et de la Démocratie.
Il ne faut jamais perdre de vue que cette propagande diffusée à la grandeur de 'Europe ne vise qu'à désigner la Russie comme un agresseur et l'OTAN, le bras armé de l'Occupation de l'Europe, comme un défenseur de la Liberté et de la Démocratie.
En avril 2017, le régiment Azov organise la Première Conférence Pan Europa.
A cette conférence, on remarque la présence de trois français: Pascal Lassalle de Radio-Courtoisie, Sébastien Manificat du Mouvement Casapound Italia et Steven Bissuel du Bastion Social.
A cette conférence, on remarque la présence de trois français: Pascal Lassalle de Radio-Courtoisie, Sébastien Manificat du Mouvement Casapound Italia et Steven Bissuel du Bastion Social.